Lu dans la presse romande…
Revue de presse II
A propos de levures
(trop) vigousses
Cette semaine (semaine 48-49, 2010), Pierre Thomas a eu deux fois les honneurs de la presse romande. Le jeudi 2 décembre 2010, Claire Muller consacrait une page sur la controverse sur l’utilisation des levures industrielles comme agent de fermentation des vins dans le magazine Terre et Nature.
Si la majorité des œnologues traditionnels minimisent l’influence des levures, pourtant démontré par les scientifiques, notamment suisses, l’avis des consommateurs et des observateurs (comme l’Américaine Alice Feiring) peut être différent : «Les encaveurs n’ont à leur disposition que quelques dizaines de souches de levures sélectionnées, relève Pierre Thomas, journaliste romand spécialisé dans les questions vitivinicoles. Elles sont proposées en majorité par une grande entreprise internationale. Le choix est donc limité et on peut se demander si on ne risque pas de standardiser les goûts! Pour moi, la levure indigène est indissociable du terroir.»
Lundi 6 décembre 2010, Jean-Claude Péclet consacrait un portrait-bilan de Thierry Barrigue, fondateur du journal satirique romand Vigousse, lancé il y a tout juste un an. Entretien réalisé au Café de l’Europe, où Pierre Thomas a donné quelques conseils pour renouveler et étoffer la carte des vins (comme, du reste, au Café du Simplon presque voisin, aussi) : «Je suis épuisé!» confie Barrigue en slalomant entre les tables bondées du café de l’Europe, le «petit café de Flore lausannois». On y croise ce mardi Ludovic Rocchi, Prix Dumur 2010 (réd. journaliste au Matin), Pierre Thomas, un des meilleurs connaisseurs romands en vins et gastronomie, et d’autres. Heureusement que nos deux places ont été réservées au fond! Au menu, le patron propose un roast-beef au four avec sauce au poivre accompagné d’un gratin de penne. Avec un pichet d’humagne, cela ira très bien.» écrit Péclet, relayé sur le site Internet du Temps. Merci, consœur et confrère!
©thomasvino.ch/07.12.10
Si la majorité des œnologues traditionnels minimisent l’influence des levures, pourtant démontré par les scientifiques, notamment suisses, l’avis des consommateurs et des observateurs (comme l’Américaine Alice Feiring) peut être différent : «Les encaveurs n’ont à leur disposition que quelques dizaines de souches de levures sélectionnées, relève Pierre Thomas, journaliste romand spécialisé dans les questions vitivinicoles. Elles sont proposées en majorité par une grande entreprise internationale. Le choix est donc limité et on peut se demander si on ne risque pas de standardiser les goûts! Pour moi, la levure indigène est indissociable du terroir.»
Lundi 6 décembre 2010, Jean-Claude Péclet consacrait un portrait-bilan de Thierry Barrigue, fondateur du journal satirique romand Vigousse, lancé il y a tout juste un an. Entretien réalisé au Café de l’Europe, où Pierre Thomas a donné quelques conseils pour renouveler et étoffer la carte des vins (comme, du reste, au Café du Simplon presque voisin, aussi) : «Je suis épuisé!» confie Barrigue en slalomant entre les tables bondées du café de l’Europe, le «petit café de Flore lausannois». On y croise ce mardi Ludovic Rocchi, Prix Dumur 2010 (réd. journaliste au Matin), Pierre Thomas, un des meilleurs connaisseurs romands en vins et gastronomie, et d’autres. Heureusement que nos deux places ont été réservées au fond! Au menu, le patron propose un roast-beef au four avec sauce au poivre accompagné d’un gratin de penne. Avec un pichet d’humagne, cela ira très bien.» écrit Péclet, relayé sur le site Internet du Temps. Merci, consœur et confrère!
©thomasvino.ch/07.12.10