Emmanuel Charpin du Château à la Charte
Château de Villa à Sierre
Un économiste pour un œnologue
L’œnologue Emmanuel Charpin quitte le Château de Villa, à Sierre, où il œuvrait depuis huit ans. La Fondation recherche un économiste comme assistant de directeur pour les secteurs administratif et financier. L’annonce vient de paraître dans la presse romande (24 Heures du 25 août 2011).
Le Château de Villa, sous la direction de Dominique Fornage, doté d’une hanche «titanesque» depuis peu, n’est pas seulement le temple de la raclette sur son incomparable terrasse ombragée. Mais aussi une vinothèque au service des vins du Valais, avec une offre importante de crus au verre, régulièrement renouvelée, et des casiers occupés par les vins que les vignerons veulent bien mettre à disposition. Un personnel qualifié s’occupe du service. Emmanuel Charpin va rester dans le secteur. Il a pris le relais de Stéphane Gay, l’initiateur de la Charte Grain Noble ConfidenCiel (voir nos notes de dégustation) au début 2011, après en avoir été le secrétaire. Il va donner des cours de dégustation et espère décrocher des mandats de consultants auprès d’écoles et d’encaveurs, voire de restaurateurs.
Cette année, comme l’an passé, la Charte Grain Noble aura droit à une tente VIP, les 2, 3 et 4 septembre à VINEA, à Sierre. Moyennant paiement, il sera possible de déguster cinq verres de vins liquoreux. Emmanuel Charpin rappelle que le critère du millésime est essentiel dans les vins liquoreux du Valais. Une moitié des nectars produits sont des assemblages, l’autre moitié des monocépages des cinq cépages autorisés par cette marque de qualité : petite arvine, pinot gris (malvoisie en Valais), marsanne (ermitage), amigne, sylvaner (johannisberg). Le savagnin (païen) a été retiré récemment de la liste, parce qu’il est peu sujet au flétrissement sur souche et encore moins au botrytis, deux paramètres importants qui font la qualité des vins liquoreux du Valais… et d’ailleurs. Le nouveau président a de nombreux projets, comme celui de reconduire une bouteille contenant une cuvée commune aux adhérents de la Charte (une quarantaine), qui permettrait de faire connaître le mouvement au-travers d’une quantité suffisante de vin commercialisé. Souvent, les vins élevés obligatoirement sous bois, sont… confidentiels.
©thomasvino.ch
Le Château de Villa, sous la direction de Dominique Fornage, doté d’une hanche «titanesque» depuis peu, n’est pas seulement le temple de la raclette sur son incomparable terrasse ombragée. Mais aussi une vinothèque au service des vins du Valais, avec une offre importante de crus au verre, régulièrement renouvelée, et des casiers occupés par les vins que les vignerons veulent bien mettre à disposition. Un personnel qualifié s’occupe du service. Emmanuel Charpin va rester dans le secteur. Il a pris le relais de Stéphane Gay, l’initiateur de la Charte Grain Noble ConfidenCiel (voir nos notes de dégustation) au début 2011, après en avoir été le secrétaire. Il va donner des cours de dégustation et espère décrocher des mandats de consultants auprès d’écoles et d’encaveurs, voire de restaurateurs.
Cette année, comme l’an passé, la Charte Grain Noble aura droit à une tente VIP, les 2, 3 et 4 septembre à VINEA, à Sierre. Moyennant paiement, il sera possible de déguster cinq verres de vins liquoreux. Emmanuel Charpin rappelle que le critère du millésime est essentiel dans les vins liquoreux du Valais. Une moitié des nectars produits sont des assemblages, l’autre moitié des monocépages des cinq cépages autorisés par cette marque de qualité : petite arvine, pinot gris (malvoisie en Valais), marsanne (ermitage), amigne, sylvaner (johannisberg). Le savagnin (païen) a été retiré récemment de la liste, parce qu’il est peu sujet au flétrissement sur souche et encore moins au botrytis, deux paramètres importants qui font la qualité des vins liquoreux du Valais… et d’ailleurs. Le nouveau président a de nombreux projets, comme celui de reconduire une bouteille contenant une cuvée commune aux adhérents de la Charte (une quarantaine), qui permettrait de faire connaître le mouvement au-travers d’une quantité suffisante de vin commercialisé. Souvent, les vins élevés obligatoirement sous bois, sont… confidentiels.
©thomasvino.ch