L’ironie soluble dans les primeurs bordelais
Ils seraient 6’000 les journalistes et commerçants à aller déguster à Bordeaux, les primeurs, cette année, les 2012, en plein élevage. Un blogueur se moque allègrement de cet exercice où seuls 20 à 30 dégustateurs sont à même de faire le distinguo entre le bon vin et l’ivresse…