Les chiffres de la viticulture suisse
l’évolution 2004 – 2013
* En 2004, 15’000 ha: superficie du vignoble (8’350 ha plantés en rouge, 6’600 ha en blanc)
** En 2013, 14’882 ha, 8’581 en rouge, 58%, 6’301 en blanc, 42%.
* En 2004, 5’180 ha: la superficie du plus grand canton viticole, le Valais, devant le canton de Vaud (3’865 ha), Genève (1’281 ha) et le Tessin, 1’040 ha.
**En 2013, le Valais passe de justesse sous les 5’000 ha (4’975 ha, — 205 ha), Vaud, 3’783 ha, Genève, 1’434 ha (y compris les zones frontalières françaises) et le Tessin, 1076 ha.
* 116 millions de litres: la production de vin en Suisse en 2004; pour la deuxième année consécutive, la Suisse a produit plus de vin rouge que de vin blanc.
** En 2013, 83,9 mios de litres (du jamais vu depuis les années 1980 et une chute de 16,5% par rapport à 2012) ; 44, 1 mios (2012 : 50,5 mios) de rouge et 39,8 mios de blanc (20012 : 49,9 mios).
* 180 millions de litres (2004): l’importation de vins en Suisse, soit 80% de vin rouge, vins italiens en tête, 44 mios de l., devant vins français, 42 mios de l., et espagnols, 28,4 mios de litres.
** En 2013, 184,3 mios de litres, d’Italie, 68,8 mios de l., de France, 41,1 mios de l., l’Espagne, 29,4 mios de litres.
* 40 litres (2004): la consommation per capita, soit la consommation totale de 283 millions de litres en 2004 rapportée à 7 millions d’habitants.
** Depuis, la Suisse, à la consommation totale de 272,5 mios de litres, est passée sous la barre des 40 litres par habitant pour tout juste 8 millions d’habitants (34 litres per capita).
** 1 %: l’exportation des vins suisses à l’étranger, chiffre inchangé (le distingo entre l’exportation des vins indigènes, distinct de la réexportation de vins déjà importés, n’apparaît pas dans les chiffres officiels : ensemble, ils représentent 1’072’700 litres de rouge et 635’700 litres de blanc en 2013).
** En 2013, la part des vins indigènes consommés en Suisse a légérement progressé à 39%, pour 61% de vins importés.
(Source : chiffres 2004 et 2013, tirés des rapports annuels de l’Office fédéral de l’agriculture, ©thomasvino.ch)