La filière vitivinicole vaudoise en 25 lignes
Le monde vitivinicole vaudois en 25 lignes
Comment résumer la «filière vitivinicole» vaudoise? Dans le sillage de l’étude Filagro, présentée le 8 décembre 2011, la (nouvelle) rédactrice en cheffe de l’hebdomadaire Agri, Karine Etter, s’y est attelée.
Citation in extenso: «Les vins sont un fleuron du canton (de Vaud). Le vignoble s’épanouit sur 3818 hectares (environ 25% de l’encépagement suisse). Le secteur est complexe du fait de la gamme étendue des vins et de la segmentation des prix. Les outils marketing doivent être mieux différenciés en fonction des marchés. La mise en place de l’observatoire des vins devrait permettre d’améliorer la situation. L’individualisme, le manque de collaboration et de vision commune sur l’identité des vins vaudois pénalisent la valorisation des produits. Difficile dans ces conditions de défendre la position des vins vaudois face aux vins importés à bas prix. D’autant plus que les professionnels peinent aussi à trouver des consensus dans la gestion actuelle des appellations (AOC) et des grands crus.»
Sic! Ben dis-donc, y a du pain sur la planche…
Quant au rôle de l’Etat, il devrait s’agir de soutien à «développer la valeur ajoutée de la production agricole»… et pas forcément à coup de millions de francs.
©thomasvino.ch
Citation in extenso: «Les vins sont un fleuron du canton (de Vaud). Le vignoble s’épanouit sur 3818 hectares (environ 25% de l’encépagement suisse). Le secteur est complexe du fait de la gamme étendue des vins et de la segmentation des prix. Les outils marketing doivent être mieux différenciés en fonction des marchés. La mise en place de l’observatoire des vins devrait permettre d’améliorer la situation. L’individualisme, le manque de collaboration et de vision commune sur l’identité des vins vaudois pénalisent la valorisation des produits. Difficile dans ces conditions de défendre la position des vins vaudois face aux vins importés à bas prix. D’autant plus que les professionnels peinent aussi à trouver des consensus dans la gestion actuelle des appellations (AOC) et des grands crus.»
Sic! Ben dis-donc, y a du pain sur la planche…
Quant au rôle de l’Etat, il devrait s’agir de soutien à «développer la valeur ajoutée de la production agricole»… et pas forcément à coup de millions de francs.
©thomasvino.ch